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Title Mann geht durch die Wand, Ein
Originaltitle: Mann geht durch die Wand, Ein
Regie: Ladislao Vajda
Darsteller: Heinz Rühmann, Rudolf Vogel, Hubert von Meyerinck
Erscheinungsjahr: 1959
Land: Deutschland
Stichwort: Epilepsie, Psychose
Release: 14.10.1959

Handlung
Der Steuerbeamte 3. Klasse Herr Buchsbaum, dem jegliches Selbstvertrauen fehlt, erhält die Gabe, durch Wände zu gehen. Er erkennt sie eines Nachts, als er nach einem Kurzschluss die Tür nicht findet, aber im Treppenhaus landet. Vergeblich lässt er sich gegen diesen Wahnsinn "Freuden"Tabletten verschreiben. Er geht für die geliebte Nachbarin durch die Wand, begeht einen Bankraub, riskiert in der Psychiatrie und im Gefängnis zu landen. Schliesslich "geheilt" bekommt er die Nachbarin zur Frau.


Weitere Info
Aufgenommen in die Epilepsie-Filmographie von Mayo/Wulff: http://www1.uni-hamburg.de/Medien/berichte/arbeiten/0020_03.html


Nach: Marcel Aymé: Le passe-muraille (1943, dt. Der Mann, der durch die Wand gehen konnte 1949)

Buchsbaum bekämpft sein "Leiden" zunächst durch "Freudenpillen", die ihn alle Erniedrigungen fröhlich ertragen lassen. Dann kommt er darauf, dass er sich besser mit seinem Supertalenten wehrt und alle Welt in Furcht und Ehrfucht erstarren lassen kann.


In der "Schöne Wahn" verwendet Aymé halluzinatorische Elemente epileptischer Anfälle.
siehe:
De l’hallucination dans l’art d’écrire de Marcel Aymé
à Yasmina Khadra dans La belle image et L’Attentat
Fayçal Bensaadi
Doctorant, Université d’Oran
http://ressources-cla.univ-fcomte.fr/gerflint/Algerie7/bensaadi.pdf

Résumé : L’Attentat, l’un des tout récents romans de Yasmina Khadra, a
attiré notre attention sur la façon dont il est construit. Sous des couverts de
réalisme politique, l’auteur déroule en fait une histoire dont la charpente
tient plus du fantastique. Le roman commence par ce qui ressemble à un
(mauvais) rêve et se termine exactement comme il a commencé : même décor,
mêmes personnages, même valeur temps. Pour cet auteur, le procédé n’est
pas vraiment nouveau, il y a eu recours dans A quoi rêvent les loups ? Mais ce
qui nous a paru intéressant, c’est de le comparer à un autre écrivain, bien
plus antérieur à lui, Marcel Aymé, dans son roman La belle image. Les deux
auteurs se rejoignent dans l’artifice littéraire qu’ils utilisent pour amorcer
leur récit : l’absence ou une sorte d’épilepsie, dans sa manifestation douce,
qui suggère une impression de déjà-vu et qui, dans un laps de temps très
court, transfigure la réalité. S’agit-il de ce que l’on désigne de « mise en
abîme » ou d’un procédé un peu plus complexe ?



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